Zones naturelles humides

Nous avons fait des milieux humides notre spécialité, que ce soit l’entretien des marais, la réouverture de roselières / tourbières, ou encore la création d’étangs.

Fauche des marais

Riche d’une grande expérience en milieux humides, Eltel SA s’est dotée de machines polyvalentes.

Grâce à des moyens techniques innovants et uniques, Eltel SA peut entretenir différents types de zones humides : haut marais et bas marais. Elle dispose de machines adaptées quelle que soit la surface à traiter.

Actifs depuis plus de 40 ans dans la fauche des marais, nous savons nous adapter aux conditions particulières de chaque site.

Dumper conception Eltel

Nous intervenons généralement avec nos dumpers à chenilles, conçus dans notre atelier, pour répondre aux exigences spécifiques des sols peu porteurs des marais.

Ces dumpers nous permettent de faucher et exporter le produit de la fauche en lisière ou à port de camion.

Ces fauches peuvent également permettre de lutter contre des plantes néophytes invasives telles que les solidages du Canada.

Elbotel : machine spéciale

Dans le cadre de mandats spécifiques, nous intervenons avec cette machine unique, qui permet d’exporter le produit de fauche sous forme de balles rondes.

Pour en savoir plus (podcast) :

Emission RTS « On va vers le beau » – La Grande Cariçaie (3/5) – Une réserve naturelle, ça s’entretient ?

Revitalisation des milieux humides : réouvertures et décapages

Eltel SA est très impliquée dans la revitalisation des milieux aquatiques. L’objectif est de restaurer l’état naturel des milieux de manière à ce qu’ils puissent accueillir une faune et une flore diversifiées. Pour ce faire, Eltel SA intervient notamment dans le curage d’étangs. Cette opération vise à retirer les matériaux organiques accumulés dans le plan d’eau au fil des ans.

Cette activité permet de réduire les émissions de CO2 notamment en créant de l’humus à partir des végétaux extraits des zones marécageuses. Cet humus est réparti sur les champs agricoles et évite, d’une part, l’utilisation de fertilisants chimiques et, d’autre part, fixe de la matière organique, donc du CO2, dans les sols. La valorisation des matériaux est donc locale et écologique.